Les taux bas actuels ont raison des emprunteurs qui n’hésitent plus à faire racheter leur crédit immo en cours. Pourquoi cet engouement pour la réduction de son taux fixe ? Explications.
Les taux bas actuels ont raison des emprunteurs qui n’hésitent plus à faire racheter leur crédit immo en cours. Pourquoi cet engouement pour la réduction de son taux fixe ? Explications.
Le rachat de crédit est une opération financière qui consiste à regrouper en un seul et unique crédit plusieurs prêts préexistants. Il intervient généralement dans les situations d’endettement. Le rachat de crédit obéit à plusieurs règles parmi lesquelles une durée maximale.
L’hypothèque peut parfois effrayer les emprunteurs qui préfèrent se tourner vers la caution. Pour les ménages qui souhaitent faire un rachat de crédit sans hypothèque, cette alternative est également possible.
La rentrée 2017 est une période propice au rachat des prêts. Les taux bas favorisent cette situation.
Les frais de tenue de compte vont augmenter de 13 % l’année prochaine. Néanmoins, des solutions existent pour limiter cette hausse.
La spectaculaire chute des taux d’intérêts s’applique également aux opérations bancaires telles que le rachat et le regroupement de prêts. Pour l’emprunteur, il s’agira de réduire son taux d’endettement.
La baisse des taux des crédits à l’habitat stimule le marché immobilier. Pour ceux ayant déjà emprunté auparavant, il est possible de baisser le taux à l’aide d’un rachat de crédit et cela même si le prêt date de 2016 (janvier ou février).
L’incroyable baisse des taux d’intérêts des crédits immobiliers se prolonge. Pourtant, tous les Français n’en profitent pas de la même manière. Les hauts revenus obtiennent les véritables meilleurs taux.
Les emprunteurs ayant déjà souscrit un emprunt immobilier peuvent eux aussi profiter de la baisse des taux d’intérêt. Notamment grâce à la renégociation du prêt. Si cette dernière est impossible, le rachat de crédit est envisageable.
L’année 2016 marque un tournant dans le financement immobilier. Au premier semestre, la baisse des taux franchi le seuil des 1,6 %