Une disposition européenne va simplifier l’accès à l’information sur les crédits immobiliers. Un formulaire d’information devra être obligatoirement remis à chaque emprunteur avant la conclusion du contrat.
Une disposition européenne va simplifier l’accès à l’information sur les crédits immobiliers. Un formulaire d’information devra être obligatoirement remis à chaque emprunteur avant la conclusion du contrat.
Les éminences grises de la finance mondiale proposent de sévir sur les conditions d’accès au crédit immobilier. Le Sénat se mobilise pour protéger le crédit à la française.
Même s’il ne représente que 1% des transactions immobilières, l’achat en viager n’a jamais été autant plébiscité.
Investir dans la pierre, un raisonnement d’ancien ? Pas si sûr. Les jeunes se lancent aussi dans l’acquisition d’un bien immobilier.
Selon un récent baromètre, le marché immobilier serait sous perfusion depuis quelques mois. Malgré le faible niveau des demandes, les prix immobiliers continuent de progresser, surtout dans les zones dynamiques et les grandes villes.
Le mois de mai ne fait pas exceptionnel à la tendance actuelle, les taux d’intérêt moyens sur 20 ans ont franchi pour la première fois le seuil symbolique des 2 %, selon les différents intermédiaires bancaires.
Selon, les chiffres publiés par l’Observatoire Crédit Logement/CSA, les taux d’intérêt des crédits immobiliers se sont établis à 1,81 % en moyenne en avril. Cependant, force est de constater que ce nouveau plancher historique cache de fortes disparités entre les différents profils emprunteurs.
Dans certains pays de la zone Euros, d’heureux emprunteurs ont vu les taux de leurs crédits immobiliers passer en dessous de zéro. Conséquence, les banques les paient pour rembourser leurs prêts. Qu’en est-il en France ?
Le mois dernier, les taux moyens des financements immobiliers toutes durées confondues sont tombés à 1,97 %, selon les chiffres de l’Observatoire Crédit Logement. Des conditions encore plus favorables que lors du précédent record de mai 2015 (2,01 %).
Certes avec la législation en vigueur, il est possible d’opter pour un contrat d’assurance emprunteur autre que celui proposé par la banque. Mais, les chiffres montrent que peu d’emprunteurs changent d’assurance-crédit.